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VIOLENCE CONJUGALE :

IMPACT

DES PREJUGES, CROYANCES, REPRESENTATIONS, SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES.



un ouvrage à commander sur internet  :


http://www.thebookedition.com/violence-conjugale-francoise-trevisan-p-98349.html


La violence conjugale est une problématique complexe aux origines multiples. Le comportement des victimes de violence conjugale (protection des auteurs de violence, silence, retour au domicile conjugal malgré le danger, etc.) n’est pas toujours compris par les professionnels qui les ont en charge : policiers, gendarmes, médecins, travailleurs sociaux, procureurs, juges.


Il existe des écarts importants entre les guides interministériels de bonnes pratiques mis à leur disposition pour mieux accompagner les victimes et l’hétérogénéité des comportements sur le terrain. Ils vont des initiatives isolées les plus pertinentes, au non respect de la loi par ceux-là mêmes censés la faire respecter.  Ces écarts sont ici recensés et objectivés et il est fait le constat qu’ils contribuent à enfermer plus encore la victime dans son silence.

Nous émettons l’hypothèse que ce sont les représentations individuelles, trop éloignées des réalités de la problématique, qui empêchent les professionnels de s’approprier les préconisations de bonne pratique.


Quelles sont les représentations individuelles et sociales sur la problématique ? Sur les victimes ? Quels sont leurs impacts ? Les représentations portées par les féministes sont-elles porteuses du plus efficace remède à la problématique ?  Une enquête par questionnaire tente de les objectiver pour observer leur influence.


Entre préjugés inadaptés et idéologie victimisante, existe-il un autre regard à poser sur la victime, d’autres représentations, qui en permettant un consensus plus large, auraient pour effet d’harmoniser, de mettre en cohérence, les pratiques professionnelles au bénéfice des victimes? C’est la question à laquelle tente de répondre ce mémoire qui constitue également une approche didactique de ce drame intime, individuel, familial et social.


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Cette recherche-action conduite par Françoise Marotto Trevisan, responsable de notre dispositif mobile SOS violence conjugale 04 ne se fait pas l’écho de la pensée dominante (unique ?) en matière d’accompagnement des victimes de violence conjugale.


En effet, l’association PAROLE a abordé l’aide aux victimes de violences conjugale non comme une aide aux femmes mais comme une aide à une personne victime d’exclusion sociale. Car il n’y a de pire exclusion que que d’être menacé  dans l'ultime refuge, c'est à dire au sein de la plus petite unité sociale qu’est le couple. En cela, pour avoir travaillé avec ces deux publics nous avons découvert beaucoup de points communs entre la souffrance des hommes sans domicile fixe et celle des femmes victimes de violence conjugale…


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Ce document de 212 pages, publié en juin 2013

est vendu au bénéfice de l'association. Vous pouvez en faire l'achat dans sa version papier ou dans une version numérique



           


  

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